Saison Pro D2 2014-2015

Sur le club de Lourdes ça marche pas beaucoup non plus, pourtant ils sont bien placé et pistonné pour les miracles

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/27/1980095-lourdes-coule-a-pic.html

biarroduchnord a écrit:Barcella, il n'a pas été à Lourdes lui

Il est allé à Lisieux.

Il a joué 5mn le temps de prendre une pénalité pour ballon gardé au sol.

R&B a écrit:

tire-bouchon a écrit:Encore un ex-biarrot à la télé.

Lund junior bataille en Auvergne.

Un de plus qui renaît de ses cendres loin du particularisme biarrot ...

Hari,traille,Lund,Heguy,Menini, sans parler des jeunes Thomas,Lesgourgues & CO ...

Lesgourges n'a pas eu à renaitre du fait qu'il n'a jamais été moribond. L'un des rares, en fait, à avoir su tirer son épingle du jeu dans cette saison galère.

biarroduchnord a écrit:Barcella, il n'a pas été à Lourdes lui

Oui mais il ne joue pas souvent non plus.

Ngwenya (Biarritz): "On doit réagir, je n’ai pas envie de rejouer en Pro D2 l’année prochaine"

Par Denis Gibert
Dans cet article
Biarritz Olympique
Takudzwa Ngwenya
Dernière mise à jour il y a 4 minutes - Publié le le 30/10/2014 à 17:16Tout comme le Biarritz olympique, Takudzwa Ngwenya découvre avec difficulté la Pro D2. Forts des premiers mois d’adaptation, le Biarrot qui "ne veut pas rejouer en Pro D2 l'année prochaine" juge qu’il faut "jouer ensemble, être motivé, respecter toutes les équipes" pour rejoindre le Top 14. L’ailier américain s’attend à un mois de novembre décisif pour son équipe.
Il y a beaucoup de pression sur ce match contre Perpignan à Biarritz ? Takudzwa NGWENYA: Oui, beaucoup de pression. Ça me rappelle un peu un match de Top 14. C’est presque la même équipe que celle qu’ils avaient en Top 14, un peu comme nous. J’espère qu’on va retrouver le même jeu qu’en Top 14 ou qu'on pourra enchaîner un peu de vitesse. Parce qu’en ce moment, en Pro D2, on trouve difficile d’enchaîner le jeu avec de la vitesse, notamment à l’extérieur. Moi qui aime jouer des matchs de ce genre, ça me manque beaucoup. On a aussi beaucoup de pression car avec ce match on commence un mois de novembre qui va nous dire si on est capable de faire de belles choses ou si on sera juste moyen toute la saison. Inconsciemment, êtes-vous plus motivé lorsque vous jouez contre les grosses équipes ? T.G.: C’est ça le problème. Moi j’ai été Montauban et j’ai vu le match. On a cru que : "voilà c’est Montauban, ils viennent de Fédérale 1, ça va aller". Mais ce n’est pas comme ça et on n’a pas trop respecté l’adversaire. C’est le problème. Chaque fois que l’on joue contre les grosses équipes, même si on perd, ça se voit qu’il y a de l’engagement. Même moi j’ai ce défaut et je peux me dire, "ouais c’est bon ça va aller, on va gagner facilement". Alors qu’en face ça enchaîne, ça enchaîne. On doit réagir et nous les anciens d’abord, parce que je n’ai pas envie de rejouer en Pro D2 l’année prochaine. On doit jouer ensemble, être motivé, et respecter toutes les équipe et après ça va passer.
" Si on laisse aller et que l’on ne dit rien, ça va vraiment arriver comme l’an dernier"
Ce mois de novembre est donc crucial ? T.G.: C’est sûr. On a trois matchs à la maison et on pourra essayer de rattraper d’autres équipes. On joue contre Perpignan, Agen, Massy et on va à Pau. Pau, c’est la meilleure équipe en ce moment. Perpignan, on est à bloc car on ne peut pas rater ce match. Mais je pense aussi que contre Pau ce sera un vrai challenge car quand on jouera contre eux ils devraient être à neuf sur neuf (victoires ndlr). Personnellement, j’aime les challenges pour savoir où on en est. Pau c’est une machine. Après ces quatre matchs, on saura si on va faire quelque chose, si on va remonter ou si on va rester moyen. Ce mois de novembre va tout nous dire. Comment le groupe a réagi devant l’ultimatum du président Serge Blanco ? T.G.: On s’est dit de rester ensemble et de ne pas commencer à dire "c’est de ta faute", sinon ça va mal finir. On sait que si un joueur a un défaut on va l’aider ou si moi j’ai un défaut quelqu’un va m’aider. On va s’entraider car je suis convaincu que si on fait les choses ensemble ça va bien se passer. Trouvez-vous des ressemblances avec la saison dernière, celle de la descente en Pro D2 ? T.G.: Si on laisse aller et que l’on ne dit rien, ça va vraiment arriver comme l’an dernier. C’est pour ça que les anciens comme moi - qui ont vécu les deux saisons - on a essayé de régler les choses en disant : "on sait, le président est énervé parce qu’on n’a pas de résultat et avec l’équipe que l’on a on doit faire quelque chose de bien normalement. Mais on doit rester ensemble et s’entraider. Si chacun fait son truc pendant le match, ça se voit et ça ne marchera pas".

2 mois pour arriver à ses conclusions!!!
Faut pas s'étonner qu'on cherche des cerveaux sur le terrain, pq même en dehors...

BOJEFF a écrit:Ngwenya (Biarritz): "On doit réagir, je n’ai pas envie de rejouer en Pro D2 l’année prochaine"

Par Denis Gibert
Dans cet article
Biarritz Olympique
Takudzwa Ngwenya
Dernière mise à jour il y a 4 minutes - Publié le le 30/10/2014 à 17:16Tout comme le Biarritz olympique, Takudzwa Ngwenya découvre avec difficulté la Pro D2. Forts des premiers mois d’adaptation, le Biarrot qui "ne veut pas rejouer en Pro D2 l'année prochaine" juge qu’il faut "jouer ensemble, être motivé, respecter toutes les équipes" pour rejoindre le Top 14. L’ailier américain s’attend à un mois de novembre décisif pour son équipe.
Il y a beaucoup de pression sur ce match contre Perpignan à Biarritz ? Takudzwa NGWENYA: Oui, beaucoup de pression. Ça me rappelle un peu un match de Top 14. C’est presque la même équipe que celle qu’ils avaient en Top 14, un peu comme nous. J’espère qu’on va retrouver le même jeu qu’en Top 14 ou qu'on pourra enchaîner un peu de vitesse. Parce qu’en ce moment, en Pro D2, on trouve difficile d’enchaîner le jeu avec de la vitesse, notamment à l’extérieur. Moi qui aime jouer des matchs de ce genre, ça me manque beaucoup. On a aussi beaucoup de pression car avec ce match on commence un mois de novembre qui va nous dire si on est capable de faire de belles choses ou si on sera juste moyen toute la saison. Inconsciemment, êtes-vous plus motivé lorsque vous jouez contre les grosses équipes ? T.G.: C’est ça le problème. Moi j’ai été Montauban et j’ai vu le match. On a cru que : "voilà c’est Montauban, ils viennent de Fédérale 1, ça va aller". Mais ce n’est pas comme ça et on n’a pas trop respecté l’adversaire. C’est le problème. Chaque fois que l’on joue contre les grosses équipes, même si on perd, ça se voit qu’il y a de l’engagement. Même moi j’ai ce défaut et je peux me dire, "ouais c’est bon ça va aller, on va gagner facilement". Alors qu’en face ça enchaîne, ça enchaîne. On doit réagir et nous les anciens d’abord, parce que je n’ai pas envie de rejouer en Pro D2 l’année prochaine. On doit jouer ensemble, être motivé, et respecter toutes les équipe et après ça va passer.
" Si on laisse aller et que l’on ne dit rien, ça va vraiment arriver comme l’an dernier"
Ce mois de novembre est donc crucial ? T.G.: C’est sûr. On a trois matchs à la maison et on pourra essayer de rattraper d’autres équipes. On joue contre Perpignan, Agen, Massy et on va à Pau. Pau, c’est la meilleure équipe en ce moment. Perpignan, on est à bloc car on ne peut pas rater ce match. Mais je pense aussi que contre Pau ce sera un vrai challenge car quand on jouera contre eux ils devraient être à neuf sur neuf (victoires ndlr). Personnellement, j’aime les challenges pour savoir où on en est. Pau c’est une machine. Après ces quatre matchs, on saura si on va faire quelque chose, si on va remonter ou si on va rester moyen. Ce mois de novembre va tout nous dire. Comment le groupe a réagi devant l’ultimatum du président Serge Blanco ? T.G.: On s’est dit de rester ensemble et de ne pas commencer à dire "c’est de ta faute", sinon ça va mal finir. On sait que si un joueur a un défaut on va l’aider ou si moi j’ai un défaut quelqu’un va m’aider. On va s’entraider car je suis convaincu que si on fait les choses ensemble ça va bien se passer. Trouvez-vous des ressemblances avec la saison dernière, celle de la descente en Pro D2 ? T.G.: Si on laisse aller et que l’on ne dit rien, ça va vraiment arriver comme l’an dernier. C’est pour ça que les anciens comme moi - qui ont vécu les deux saisons - on a essayé de régler les choses en disant : "on sait, le président est énervé parce qu’on n’a pas de résultat et avec l’équipe que l’on a on doit faire quelque chose de bien normalement. Mais on doit rester ensemble et s’entraider. Si chacun fait son truc pendant le match, ça se voit et ça ne marchera pas".

Zi n'a pas envie de jouer en ProD2 l'an prochain ! Un conseil Taku, commence à postuler ds les clubs du Top 14 pour la saison prochaine... car le Bo sera de nouveau en ProD2

Quand on voit tous les mecs qui brillent cette année ailleurs , on peut évidemment se poser beaucoup de questions et se demander ce que fout le BO en D2 et pourquoi il y est allé .

Menini, Lesgourgues, Traille, Thomas, Harinordoquy,Heguy, Lakafia,et d'autres ..

Mais y en a encore qui ont des doutes sur la qualité de notre effectif la saisons dernière?   

Non, simplement des doutes sur les raisons avancées pour expliquer notre descente, joueurs pas motivés, pas sérieux, pas professionnels, toussa toussa 

Zee a marqué son premier essai de la saison ce WE

http://dai.ly/x29s2fa

Pas top la défense des roumains ! 

« Je suis confiant »

Le manager Eddie O’Sullivan est revenu sur le début de saison mitigé de son équipe qui accueille un concurrent direct cet après-midi (15 h).



« Je suis confiant »
Eddie O’Sullivan est conscient des problèmes du BO mais ne baisse pas la tête.


Depuis son arrivée sur la Côte basque en juin dernier, le nouvel entraîneur du Biarritz Olympique, Eddie O'Sullivan, s'est montré très discret. « Je voudrais mieux parler français pour pouvoir m'exprimer dans les médias mais je n'ai pas encore assez confiance », confie l'ancien sélectionneur de l'équipe d'Irlande (2001-2008) et des États-Unis (2009-2011). L'Irlandais, qui fêtait hier ses 56 ans, a accepté cette semaine de revenir pour « Sud Ouest » sur le début de saison mitigé de son équipe. Conscient des difficultés du BO à l'extérieur, le technicien est toujours confiant pour remonter en Top 14.

« Sud Ouest ». Comment se passent vos premiers mois à Biarritz ?
Eddie O'Sullivan. C'était vraiment difficile au début, notamment d'étudier le français. En arrivant ici, je ne parlais pas un mot mais c'est un grand challenge pour moi. Maintenant je connais désormais bien la situation, le club et les joueurs et je suis très content à Biarritz

Vous avez longtemps entraîné des sélections nationales. Diriger un club vous manquait-il ?
Oui, car c'est sur le terrain que je me sens le mieux. Je me réjouis de pouvoir diriger les joueurs tous les jours, c'est plus facile pour travailler. En sélection, c'est compliqué car on a peu de contact avec les joueurs. Je retrouve le plaisir.

Que pensez-vous du début de saison de votre équipe ?
Je m'attendais à des débuts difficiles avec beaucoup de nouveaux joueurs (18), un nouveau coach et des nouveaux systèmes. Mais pour moi, le gros problème du début de saison a été les blessures. Surtout les piliers (NDLR, Broster, Montanella, Cabarry, Clément et Van Staden ont déjà tous été absents) et les arrières, comme Dan Waenga, qui n'a pu démarrer que cinq matchs. C'était difficile pour tout le monde de démarrer dans ces conditions.

Pensiez-vous que votre patte prendrait plus rapidement ?
Je n'en étais pas sûr non. En Pro D2, le style de jeu est très différent du Top 14 et du Super rugby. Il faut du temps pour s'y adapter. En défense, les joueurs s'améliorent mais nos principaux problèmes sont en attaque. Nous avons des difficultés et une partie de ces problèmes vient de ne pas avoir un ouvreur régulier. L'absence de Dan Waenga a beaucoup pénalisé la dynamique de notre équipe en attaque. C'est un de nos leaders et quand il reviendra, nous serons meilleurs.

On entend parfois que le BO a de bons joueurs mais qui ne sont pas faits pour le combat de la Pro D2. Qu'en pensez-vous ?
Nous avons une bonne équipe pour la Pro D2. Mais les blessés nous ont pénalisés dans beaucoup de situations. Contre Massy, on a commencé avec cinq joueurs du centre de formation (NDLR, Ruffenach, Lockley, Placines, Lucu, Le Bourhis). Et on a dû en utiliser neuf depuis le début de saison pour le moment.

Vous êtes la seule équipe à ne pas avoir pris de point à l'extérieur. Comment expliquez-vous cela ?
Je suis juste très déçu de nos performances à l'extérieur. Nous avons un problème d'ajustement, c'est typique de cette Pro D2. Les premiers matchs à l'extérieur, on pouvait gagner mais on n'a pas compris ce qui s'est passé. On essaye de jouer le même rugby chaque semaine et on doit inverser ce rapport négatif. Ce n'est pas la peur de gagner, c'est une question de réglages. J'espère qu'en en gagnant un, nous serons lancés. Il y a aussi le problème des arbitres qui sifflent beaucoup de pénalités contre nous : 19 contre Pau, 15 contre Massy. On doit apprendre à mieux gérer cela et se régler.

Le président Serge Blanco était très énervé après la défaite de Montauban (43-3)...
(Il coupe) Nous étions tous très énervés. Je comprends sa frustration et j'étais d'accord avec lui. Je ne pouvais pas défendre notre performance de Montauban qui était très mauvaise. Si vous perdez mais que l'équipe a tout donné, vous acceptez. Mais quand vous donnez le match à votre adversaire parce que vous êtes mauvais… Je pense que les joueurs ont compris son message.

Croyiez-vous toujours dans l'objectif fixé : la remontée ?
Oui, je suis confiant mais nous devons devenir plus consistants. L'inconstance est caractéristique de notre début de saison et le but est de devenir plus régulier. Je pense que c'est possible vu notre effectif. Les matchs à domicile se passent bien mais à l'extérieur, ce n'est pas bien. On doit faire l'effort sur chaque match.

Malgré la victoire contre Massy, l'équipe est sortie sous les sifflets. Qu'en pensez-vous ?
Je ne les ai pas entendus car je redescendais aux vestiaires. Mais le public paye sa place et peut siffler s'il n'est pas content. À Biarritz, les supporters sont très expressifs. Je préfère qu'ils prennent du plaisir en nous voyant jouer mais c'est difficile. On essaye de leur donner des résultats et du beau jeu.

http://www.sudouest.fr/2014/11/22/je-suis-confiant-1744230-773.php

"On essaie de leur donner des résultats et du beau jeu" .....
Pour les résultats c'est à moitié réussi.
Pour le beau jeu on attend toujours ....
Il n'a pas entendu les sifflets. Soit ....
Attention cet après-midi suivant la manière et le résultat, ça risque d'être un peu plus puissant.....
Quant au public biarrot, malgré tout ce qu'il endure depuis des années, je le trouve, jusqu'à présent, très sage.
Pas sûr qu'à l'Usap cela se passerait de la même manière.

Moi je reste confiant, notamment pour cet aprem.

Personne n'a pensé à lui demander si il était bien logé, si il supportait la cuisine locale et si il était content des parcours de golf de la région.

Parce qu'on connait déjà la réponse!
Et heureusement, le BO serait à Charleville Mezieres je te dis pas 

biarroduchnord a écrit:Parce qu'on connait déjà la réponse!
Et heureusement, le BO serait à Charleville Mezieres je te dis pas 

ben ça serait le CMO...

« Une prise de conscience »

Le président Serge Blanco avait haussé le ton fin octobre et fixé un ultimatum à ses joueurs après Narbonne. Il est revenu hier sur un mois de novembre prolifique.



Serge Blanco est rassuré, le BO a signé le meilleur troisième bloc (17 pts) avec Colomiers.
bayonne@sudouest.fr
© PHOTO PH. LE DÉODIC
MAXIME KLEIN


La raclée reçue chez le promu montalbanais fin octobre (43-3) avait fait sortir le président biarrot Serge Blanco de ses gonds, l'obligeant à taper du point sur la table et remettre en cause l'investissement de ses joueurs lors de l'assemblée générale des Socios. Il avait alors fixé un ultimatum de cinq matchs aux Biarrots pour redresser la barre au mois de novembre et avait donné rendez-vous après Narbonne (succès 20-7 dimanche).

Avec quatre victoires (Perpignan, Massy, Agen et Narbonne) en cinq matchs (défaite à Pau), ses vœux ont été exaucés. Avant d'aller faire un bilan avec ses joueurs cette semaine, il est revenu hier pour « Sud Ouest » sur le redressement de son équipe, désormais cinquième ex-aequo, à un point de la deuxième place.

« Sud Ouest ». Vous aviez fixé un ultimatum sur le mois de novembre. Quel bilan tirez-vous de cette période ?
Serge Blanco. Comptablement, c'est forcément très intéressant (NDLR, 17 points marqués, autant que sur les huit premiers matchs). On est revenu au contact des premières places, on ne peut que s'en satisfaire. C'est bien, on est sur une bonne série, mais nous avons les moyens de faire encore mieux. Nous pensons déjà à Colomiers qui arrive dimanche, une équipe qui surprend, avec de très bons joueurs et un très bon entraîneur, Bernard Goutta. On ne veut pas rester sur ces cinq matchs mais continuer cette série jusqu'à la fin des matchs aller.

Les joueurs avaient besoin de se remobiliser ?
Aujourd'hui, il y a eu une rébellion. Les joueurs ont pris conscience qu'ils pouvaient faire de grandes choses et que cela leur permettait de regarder l'avenir différemment, avec plus d'ambitions. J'ai toujours eu confiance dans les entraîneurs et ces résultats me confortent dans l'idée qu'on a le potentiel pour atteindre nos objectifs. Si on continue sur cette lancée, cela va devenir de plus en plus intéressant. Il reste deux matchs (NDLR, Colomiers dimanche puis à Bourgoin le 20 décembre) pour bien finir l'année.

Pensez-vous que votre coup de gueule après Montauban fut salutaire…
Mon intervention n'a rien à voir là-dedans. Les joueurs ont pris conscience de leurs moyens et les entraîneurs leur ont aussi fait comprendre ça. Il y a eu plus de travail et ils ont su repartir sur un rugby conquérant devant, avec un pack puissant comme doit avoir le Biarritz Olympique. Il faut tirer le meilleur de tout ça pour avoir un jeu encore plus complet.

Benjamin Noirot et Clément Marienval ne savent pas quand ils vont pouvoir rejouer. Le BO va-t-il prendre un nouveau joker ?
Pas pour le moment. Nous avons les moyens de faire face. Derrière, nous avons déjà pris Kurt Morath et nous faisons confiance aux jeunes qui sont là. Devant, Stéphane Clément peut compenser au talonnage mais il ne faut pas qu'il y ait de problèmes chez les piliers.

Elle est pas mal cette interview. 

C'est con, il y a un problème avec les piliers.....

Finalement il avoue ne servir à pas à grand chose!

Pensez-vous que votre coup de gueule après Montauban fut salutaire…
Mon intervention n'a rien à voir là-dedans.

Il est dans son rôle, devant les médias et le public, il ne peut faire que ce genre d interview langue de bois..

On peut ,en revanche ,s interroger sur le timing...la situation reste fragile,comme le niveau de jeu, et si le Bo passe à travers contre Colomiers et bourgoin, de quoi aura t'il l air?

Le vrai bilan se fera après le csbj .

R&B a écrit:Il est dans son rôle, devant les médias et le public, il ne peut faire que ce genre d interview langue de bois..

On peut ,en revanche ,s interroger sur le timing...la situation reste fragile,comme le niveau de jeu, et si le Bo passe à travers contre Colomiers et bourgoin, de quoi aura t'il l air?

Le vrai bilan se fera après le csbj .

J'ai peur qu'il y ait une décompression et que Colomiers ne vienne nous cueillir à domicile...

C'est le risque de toute victoire à l'extérieur...

Jakes a écrit:C'est le risque de toute victoire à l'extérieur...

Tout à fait.
C'est dire si on minimise les risques!

Invaincus à la maison ! Il n'y a pas de secret !
Donc il ne faut pas gagner away !

Jakes a écrit:Invaincus à la maison ! Il n'y a pas de secret !
Donc il ne faut pas gagner away !

le voilà qu'il s'y met ! ou mey ou May (ou Jonny)

Romulus3064 a écrit:

R&B a écrit:Il est dans son rôle, devant les médias et le public, il ne peut faire que ce genre d interview langue de bois..
On peut ,en revanche ,s interroger sur le timing...la situation reste fragile,comme le niveau de jeu, et si le Bo passe à travers contre Colomiers et bourgoin, de quoi aura t'il l air?
Le vrai bilan se fera après le csbj .

J'ai peur qu'il y ait une décompression et que Colomiers ne vienne nous cueillir à domicile...

Ce qui ne servirait à rien au final.!
Gagner à l extérieur et se faire ramasser le match suivant à la maison. (et puis ils sont professionnels...donc...)

Barcella continue sa trajectoire.
Il signerait à Grenoble la saison prochaine, où il retrouverait Heguy.

La Pro D2, c’est aussi ça

Depuis plusieurs semaines, les matchs des Biarrots sont jalonnés de nombreuses bagarres. Des incidents qui coûtent des cartons mais prouvent le nouveau caractère du BO


De nombreuses bagarres ont émaillé la rencontre contre Colomiers dimanche
© PHOTO JEAN DANIEL CHOPIN

Trois cartons jaunes (Davies, à Montauban et contre Colomiers, et Lévi à Narbonne), trois cartons rouges (Placines devant Dax, Ruffenach contre Agen et Soqeta face à Colomiers). Voilà ce qu'ont coûté les bagarres au Biarritz Olympique depuis le début de la saison. Seulement huitième équipe la plus sanctionnée par des cartons par les arbitres (17 au total), les joueurs d'Eddie O'Sullivan ont rejoint Dax, dimanche, en tête des formations ayant eu le plus de joueurs expulsés depuis le début de saison.

Les trois dernières rencontres des Biarrots (Agen, Narbonne et Colomiers) ont toutes vu des accrochages dégénérer, entraînant cinq des dix-sept cartons récoltés par le BO. Et la rencontre de dimanche face à Colomiers fut, elle, encore plus particulièrement tendue après une première bagarre générale dès la 9e minute. « L'équipe a jeté toutes ses forces dans la bataille mais même trop par moments quand on voit les bagarres », regrettait après la rencontre l'entraîneur des arrières biarrots, Pierre Chadebech.

Lévi et Davies sous la menace
En effet, les cartons peuvent coûter chers. Aussi bien financièrement (le BO vient d'écoper une amende de 7 500 euros après les incidents contre Agen), que sportivement. En l'absence de Noirot (genou), la suspension de Ruffenach à Narbonne avait obligé le pilier Clément à dépanner au talonnage. Samedi, en 2e ligne, Soqeta sera suspendu, Marie forfait et Hewitt tout juste apte (lire ci-contre). Les choix deviennent alors limités. Avec deux cartons jaunes reçus, Elvis Lévi et Rodney Davies sont, eux, désormais sous la menace d'une suspension en cas de nouvel avertissement. « C'est dommage, note l'ancien manager de Lille. Ni nous, ni eux, n'avons besoin de ça et les joueurs doivent apprendre à davantage se contrôler. »

Ces bagarres démontrent toutefois le nouvel esprit d'un BO qui ne veut plus se faire marcher dessus comme cela lui est déjà trop arrivé cette saison. « Peut-être que nos adversaires, sur le début de saison, ont vu qu'on manquait d'agressivité et se disait qu'en en mettant contre Biarritz, ça passerait, explique le pilier Stéphane Clément (26 ans). Mais maintenant, l'équipe a pris la mesure de cette Pro D2 et on sait que cela passe parfois par là. Sans combat, on ne peut pas gagner un match. »

« Plus les gentils du Top 14 »
« On a forcément eu besoin d'un moment d'adaptation en arrivant dans cette Pro D2, pour voir comment cela se passait, note, lui, l'arrière Paul Couet-Lannes (23 ans). Chez nous, on sait qu'on doit se faire respecter et ne pas se laisser faire. Nous ne sommes plus les gentils qui arrivent du Top 14 et qui veulent se prendre des vagues. » Ces trois derniers matchs ont d'ailleurs coïncidé avec autant de victoires pour le BO, qui a toujours su se reconcentrer, empochant même deux bonus offensifs (Agen et Colomiers), lui permettant de s'installer pour la première fois de la saison sur la deuxième marche du podium. « On veut faire d'Aguilera une forteresse, clame Maxime Lucu. Mais il faut confirmer à Bourgoin pour s'ancrer davantage comme un concurrent à la montée. » Le BO signerait alors un cinquième succès de rang, une première en championnat, sur une même saison, depuis mai 2009.

Marie forfait, Soqueta suspendu
Sorti sur saignement après un choc à la tête avec Ngwenya (22e), le 2e ligne Mathias Marie souffre d’une plaie large et profonde sur le front, qui a été recousue avec 13 points de suture. Il devrait observer quinze jours d’arrêt et est déjà forfait pour le déplacement à Bourgoin.
Expulsé samedi (9e) Nemia Soqeta est automatiquement suspendu pour une rencontre. Il devrait connaître jeudi la durée de son absence. Affaibli en 2e ligne, le BO devrait toutefois compter sur le retour d’Hewitt (genou). De Luca (genou) et Usarraga (coude) devraient aussi pouvoir tenir leur place alors que Montanella (dos) reste incertain.

On s'en fout!

On a le plus gros budget de ProD2.
On peut se permettre de la baston à chaque match.

http://www.rugbyrama.fr/rugby/pro-d2/2014-2015/a-peine-arrive-a-biarritz-van-der-walt-en-est-deja-le-leader_sto4517031/story.shtml


Aie , aie la pub commence .....

En tous les cas, le type semble animé de belles valeurs, paraît intelligent, faut le garder absolument, en faire le capitaine, et construire avec lui.

Sacré joueur, depuis qu il joue, l équipe n est plus la même..

Remplace très avantageusement le basque bondissant de Toulouse

Le staff et le Président doivent lui faire comprendre qu'il peut s'ancrer au BO (qui est un club sain, voilà ce que les dirigeants doivent démontrer, notamment sur le plan des finances) comme LE leader et faire partie d'un projet ambitieux qui a des chances d'aboutir.

Mais il est clair le mois de mai conditionnera pas mal de choses

Si il pouvait nous faire comme Van Niekerk à Toulon...Une campagne en D2 comme capitaine puis la montée en top 14...

Puis le placard!
Mais le vrai placard. L'allée des légendes du RCT a un pavé Sony Bill Williams mais pas Van Niekerk.

Donc souhaitons un avenir plus radieux à notre SudAf.

On grandit les mecs, on grandit!

http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2014-2015/pro-d2-suspensions-pour-datunashvili-aurillac-rioux-colomiers-et-soqeta-biarritz_sto4538825/story.shtml

je crois que dans le topic "prochedesdieux" on va pouvoir inclure. A qui le tour?

J'espère que les 6000€ seront récupérés des salaires des fautifs...
A moins que nous, supporters, mettions la main à la poche en soutien à ces marques de cohésion que certains aiment tant mais que n'apprécie pas la ligue...
"ON EST CHEZ NOUS !!!"

y a qu'à prevoir un budget special.C'est tout.
Je vois pas pourquoi on sanctionnerait plus les fautifs.C'est une génerale,ils sont quasi pris au hasard parce que d'autres pourraient être à leur place et l'arbitre fait un jugement de Salomon.Un rouge partout pour avoir la paix.

ça va les amuser aux contrôleurs financiers de la LNR.

- C'est quoi cette ligne budgétaire ?
- C'est rien. On provisionne les générales qu'on va déclencher pendant le championnat.

C'est comme toutes les sanctions qui touchent le porte-monnaie.
Seuls les riches peuvent se permettre d'enfreindre les lois et règlements.
Un riche se gare n'importe où, envoie des poires dans un match, un pauvre tends la joue...
En fait on fait des lois pour accentuer la fracture sociale.

Jakes a écrit:C'est comme toutes les sanctions qui touchent le porte-monnaie.
Seuls les riches peuvent se permettre d'enfreindre les lois et règlements.
Un riche se gare n'importe où, envoie des poires dans un match, un pauvre tends la joue...
En fait on fait des lois pour accentuer la fracture sociale.

s'en est où, cette histoire de PV étouffés

On peut pas dire...