Michel Celaya

En ce début d'année un grand nom du BO et du Pays Basque disparaît... Reposez en paix M. Celaya

Condoléances à sa famille et amis.

Triste nouvelle.
Un très grand joueur.
RIP MIchel

Grand entraîneur et grande personne.
Rip.

50 sélections en ce temps là, c'était pas donné à tout le monde.
Sans compter son parcours au BO

Doluminak

Tu veux dire que c'était carrément énorme ! L'EDF jouait la moitié des matchs que maintenant, et il n'y avait que 15 noms sur la feuille de match !

Triste nouvelle

C'est un monument du rugby qui nous a quitté.
Et pas que de Biarritz.

Quelqu'un d'une grande simplicité que tous ceux qui aiment le BO ou qui y ont joué auront forcement croisé le chemin au Polo et à Aguiléra.
Bien sûr peu d'entre nous l'auront vu jouer que ce soit en vrai ou à la Télevision car il a joué à une époque ou celle-ci n’était pas présente dans tous les foyers et de loin s'en faut.
 Mais son palmarès,son nombre de sélections et ses galons de capitaine en Equipe de France en font un grand du rugby mondial.

Il nous quitte quelque temps après Denis Lalanne qui nous avait conté l’épique Tournée De 1958 en Afrique du Sud dont Michel Celaya était le capitaine avant de se blesser.
La France était rentrée à cette occasion dans la grande histoire du rugby mondial.

Reposez en paix Mr Celaya.

Triste nouvelle effectivement.
Mes condoléances à sa famille et à tous ses proches.
Un clin d’œil, pour l’histoire :
Je me souviens avoir vu mes premiers matches à Aguiléra avec mon grand-père en 1967.
Il m’avait tellement passé le virus que j’allais voir presque tous les entraînements (2 fois / sem.) après l’école.
En attendant que tous les joueurs arrivent après leur boulot, les buteurs s’entraînaient à passer des drops ou des pénalités.
Il y avait Larrieu, Lalanne, Berria, Pascual, Cano, Sarrailh, Amade, Pariès, De Mallaret, etc…
Pariés m’avait impressionné en passant des pénalités depuis la ligne de touche (au terrain de Bendern) à quelques mètres pour ne pas dire centimètres du poteau d’en-but.
Je m’en souviens si bien que j’étais derrière les poteaux pour renvoyer les ballons avec le fils du concierge Zubieta.
Mais là où je veux en venir, c’est qu’un jour (entre 1970 et 1972, j’ai la mémoire qui flanche…), Serge Blanco est arrivé derrière les poteaux pour renvoyer aussi les ballons.
A partir de ce jour là, nous n’avons plus vu beaucoup de ballons…
Il courait tellement vite qu’il arrivait même à attraper 2 ballons à la fois… !
Michel Celaya était déjà sur le bord de la pelouse (en attendant les retardataires).
Est-ce à ce moment-là qu’il découvrit la « pépite » ? Ou en allant à Saint-Martin sur le terrain des manchots de la J.A.B. ?

Sans vouloir être trop long, je voudrais rajouter que Michel Celaya avait une qualité, même après ses 80 ans, il était physionomiste.
En allant voir les entraînements, entre 1970 et 1972, forcément il me connaissait de vue.
Et bien, je ne l’ai plus revu jusqu’en 2016, soit 44 ans après ;  un jour de match, je l’ai croisé à Aguiléra, il m’a reconnu et on s’est dit bonjour. Mais, pressé de rejoindre les guichets avant le match,  je regretterai toujours de ne pas mettre arrêté pour lui serrer la main.  
C’était un Grand Monsieur.
RIP Michel